Construit pour le roi Louis XV, cet élégant bâtiment a retrouvé sa splendeur après des années d’abandon et de colossaux travaux.
La Muette s’apprête à renaître. Pour son baptême il lui fallait un parrain, Franck Ferrand a généreusement accepté cette mission.
Chaque jour, près d’un million de personnes écoutent son émission quotidienne « Franck Ferrand raconte » qui connaît un succès toujours croissant sur Radio-Classique.
L’aménagement des espaces extérieurs du jardin se poursuit avec l’achèvement du pavage autour du bâtiment.
Ces pavés anciens, qui ont été minutieusement récupérés lors des travaux de terrassement, sont posés selon le dessin originel d’Ange-Jacques Gabriel, afin de restituer les abords du Pavillon tels qu’ils étaient au XVIIIe siècle.
Bien loin d’être un enfer, le chantier de restauration du Pavillon se poursuit allègrement, avec la pose des pavés autour du bâtiment.
À La Muette, on s’active désormais beaucoup pour l’aménagement des espaces extérieurs : ça creuse, ça racle, ça aplanit et ça compacte…
C’est pas Verdun, mais à La Muette on creuse également des tranchées…
Afin de faire passer les réseaux divers, les bulldozers s’activent et creusent sans répit.
Quand on en est à terminer les plats et rectifier les bosses, c’est que le chantier commence à prendre bonne tournure. Ça paraît incroyable, mais les travaux avancent tellement que l’on démarre les doublages dans le Pavillon de la Muette.
Marc Chesneau est un photographe professionnel qui a beaucoup de qualités : outre le fait d’habiter à Maisons-Laffitte, il réalise également avec passion de talentueux portraits en milieu naturel.
Durant le confinement, il a capté des photos de promeneurs dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye, partis à la recherche de chlorophylle et de liberté.
Jusqu’au 30 juin, l’exposition photographique “Rencontres en forêt” de Marc Chesneau, s’est installée au Pavillon de la Muette à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Il y expose une série de photographies où il fait cohabiter l’être humain avec la forêt.
Les échafaudages sont comme les dictateurs : à la fin, ils sont toujours déposés ! C’est la bonne nouvelle de ce début d’année : l’échafaudage complexe qui ceinturait le Pavillon et qui était surmonté d’un gigantesque “parapluie”…
On ne veut pas quitter cette année civile en catimini, en oubliant de vous parler de l’arrêté de classement de La Muette publié le 7 avril 1921 . Un tel évènement doit se fêter bruyamment : on veut bien être centenaire, mais pas sans tonnerre !